froide soirée

C'était une de ces froides soirées d'hiver, il devait être 20heure tout au plus. Juliette errait dans les ruelles, serrant sa cape sur ses épaules. Elle songeait à trouver de l'Argent pour s'en acheter une autre, vu qu'elle ne pourrait plus prendre de drogue. Voila bien trois jours qu'elle avait disparu de la surface terrestre mais maintenant elle était de retour, décidée à profiter de la vie comme jamais auparavant. Elle devait d'abord trouver Arthas ou Sieur Delarose, voulant s'assurer qu'elle avait un bon terrain d'entente avec eux, s'assurer que tout serait le plus stable possible. Arthas lui avait paru méfiant et sieur Delarose... différent.

Elle s'arrêta non loin de la place publique, observant ce qui s'y passait, observant les gens qui passaient.

Arthas qui observait tout et voyait tout de son manoir grace a ses nombreux espions ils décida de déscendre dans les rues rendre une petite visite a un visage familier. Il regarda la femme rouse tremblotante dans un coin de la rue.
Il lui dit

-Que faites vous ici dehors par une si terrible température n'etes vous pas supoposéz etre chez Olivier?!

"Je ne suis pas l'Esclave de Olivier... je veux profiter un peu de la vie, voila tout... "

Elle sourit en se souvenant du regard qu'Arthas lui avait lancé.

"J'imagine qu'à votre avis, je devrais être mariée et m'occuper d'une petite famille... qu'une femme seule dans la rue est suspect, non?"

Arthas lui répondit

-Un peu oui c'ets ce qui ets récommendé par l'église un peu le cadre de vie normale..
ne restez pas dehors a gélerm je vais cous preter un toit pour ce soir.. si vous le voulez

il tendit la main a l'étrangére rousse

"Ah oui.. l'église... il est vrai que je la contredit un peu..."

Cherchant le défi, le danger, elle prit sa main.

"Je ne dirais pas non... il fait si foid!"

Arthas aména Juliette j'usqua sa résidence (on continue au manoir debordeaux)

Du coin d'un rue Olivier arriva avec la même valise qu'il avait prit au port quelque jour avant.

À Arthas c'est vous que je cherchais

Il regarda Juliette avec un air sombre et reprit

Pouvons-nous nous entretenir seul à seul?

Elle revint dans la ruelle le lendemain matin, n'ayant pas le coeur à retourner voir Jorvik ou Darmek, incertaine si elle devait aller voir Olivier...

Elle s'assit dans un coin et regarda le temps passer, perdue au fond de ses pensées, remarquant à peine que ses marques étranges sur le poignet gauche n'était plus dissimulées par son gant....

Elle le remarqua alors. Elle se leva d'un bond, remarquant le sang.

"Ho seigneur... Olivier... que vous est-il arrivé?"

Elle remonta nerveusement son gant, s'apercevant qu'il avait pu observer l'étrange tribal de son poignet.

À moi rien ce sont eu qui sont mort qui on soufert.

Il avait un sourir macabre sur les lèvres.

Et vous que faite vous ici et qu'elle est cette marque sur votre poignet.

Elle recula un peu, effrayée qu'il parle aussi simplement de la mort.

"Cette... cette marque? une simple marque... rien de plus... un genre de tatouage.... et je ne fais qu'attendre... comme d'habitude... attendre que le temps passe..."

mais habituellement elle se soulait à mort pour ne pas voir le temps passer.

"J'attends que le monde daigne me donner un peu d'argent... j'en ai besoin pour m'acheter une nouvelle cape.. .et de nouveaux gants... mais vous... que faites-vous à trainer ici?"

Moi je me promène depuis `déjà deux jours dans les rues de cette salle ville.

Mais pour vos gang et votre cap ( il lui lança une bourse) ce n'Est plus un problème alors parter d'ici j'ai encore du travail à finir dans cette rue.

Avec ces mots il rentra dans un maison et des cris jahir rapidement de celle si.

Il en resortie l'épée rouge à la main et commença à partir vers cher lui.

Effrayée de revoir ainsi les épées, elle resta muette quelques instants. Pourtant, elle était en rage de le voir agir ainsi. Elle le rattrapa, l'obligeant à s'arrêter et à lui faire face.

"Pourquoi assassinez-vous ces gens?!" lui cria-t-elle, scandalisée.

C'est gens...

Il eu un grand rire.

C'est gens se sont des pourritures,,,, des puces dans MA VILLE.

Il continua à avancer.

Se sont des croyants trop dévolue et nuisible
Des non-croyant qui ne travail pas pour nous et nous fond du trouble.
ou simplement des adorateurs de satan .

De la vermine sans aucun but.

Sa rage augmenta.

"Parce que vous croyez que le soi-disant bon Dieu peut les sauver? regardez-moi... quelques instants... allez... pensez-y... si Dieu pouvait vraiment nous aider, je ne serais pas dans la rue!"

Elle recula, pour se protéger de l'épée mais continua à crier sa rage.

"Vous êtes un meurtrier... un monstre... n'avez-vous donc aucune morale? Aucun scrupule? Devant la mort vous serez condamnés à l'enfer... à l'éternel souffrance... pourquoi faire ces meurtres? Si ils sont de la vermines dans votre ville, j'en fait parti"

Mon dieu ( il rit) Me sauvera plus que les autres car je détruis la vermine qui n'Est pas digne d'eux.

Il rengea l'épée et fit deux pas devant juliette.

Il lui dit que si dieu me sauve qu'il me sauve pour l'instant je suis vivant et je compte le rester pour longtemps.

Elle recula encore, méfiante.

"Si votre dieu peut vous sauver, tant mieu... mais il est faible de ne pas s'attaquer directement à ses ennemis.... vous êtes son pion.... faible pion.... est-ce une vie que d'etre le pion d'un tel dieu?"

son regard se plongea dans le sien, si froid, si différent de ce qu'il avait l'habitude...

"J'ai fait un pacte pour me libérer de votre dieu... et ma liberté me plaie bien..."

Elle eut un sourire sombre, mystérieux... démoniaque.

Un pacte... ALors vous êtes une de ces adoratrice de dieux maudit ou de santan.

Il s'Approcha d'un pas et la plaqua contre le mur.
Sachant où elle cachait son poignar il le prit et le lança plus loin.
Il lui auta le gang et examina le poignet.

Il put boir un étrange tribal, une croix inversée entourée de lignes et d'un grand S. elle se débatit, appelant à l'aide.

"Lâchez-moi!"

Il la regarda avec éffroit et cria à son tour....
Au garde.

Quelque seconde plus tard des gardes du nouvelle arrivage était sur juliette et l'Avait menoté.

Ma chère je pense que une journée ou deux dans notre formidable prison vous ferons du bien...

et ils l'emportèrent

Elle appelait et suppliait Darmek et Jorvik de venir, priant silencieusement Satan de la protéger, et de protéger son enfant...

Bailloner la elle va répondre de tout les crimes qu'elle à commis.

Il regarda autour de lui et cria...QUE LA CURE DE MA VILLLE COMMENCE...CHANGER OU MOURER.

Elle se débatit violement mais se laissa finalement emmener, esperant que Jorvik, Darmek ou Satan lui-même l'avait entendu.

Ses espérances n'avaient pas été vaines. Jorvik était justement dans la ville, à la recherche d'une taverne où il aurait pu noyer sa peine. Il avait entendu le cri d'une voix familière. Il s'était précipité vers l'endroit d'où provenait l'appel. Ne sentant plus que le souffle du vent sur son visage et ne voyait plus que celui de Juliette. Une fois rendu sur le lieu présumé du cri, il ne voyait plus que des habitants qui chuchotaient à voix basse.

-Samankaltaisia sanoja.

Il revint sur ses pas, bien décidé à boire tout l'alcool de la ville pour lui faire oublier sa vie.